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XX.
L’histoire est le roman des faits, et le roman l’histoire des sentiments. L’histoire apprend que la vertu n’a rien à gagner avec les hommes ; que sur cent à peine s’en trouve-t-il un vertueux par inclination ; qu’ils sont tous faux, perfides, etc. Le roman nous présente des modèles de fidélité, de droiture.
XXI.
Le génie ressemble à ces terres vastes où il y a des endroits peu soignés et peu cultivés : dans une si grande étendue tout ne peut être peigné. Il n’y a que les petits esprits qui prennent garde à tout : c’est un petit jardin qu’ils tiennent aisément peigné.
XXII.
Pas plus de sûreté dans un dévot