Page:Henri IV - Lettres Missives - Tome1.djvu/506

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rant doncques que me ferez ce plaisir, prieray Dieu, mon Cousin, vous avoir en sa tres saincte et digne garde. À Nerac, ce viije juillet 1582.

. . . . . . . . . .


[HENRY.]



1582. — 12 juillet.

Copie. — Arch. de M. le général comte de Bourbon-Busset. Envoi de M. l’abbé Chambon, curé de Souvigny, correspondant du ministère de l’Instruction publique.


À MON COUSIN MONSR DE BUSSET.

Mon Cousin, Ce me sera grand plaisir quand les affaires que vous traictez avec madame de Tavannes auront reussy à vostre contentement, pour la particuliere affection que j’y porte, et que j’accompagneray de tous les bons effects que debvez attendre de celuy qui vous aime et desire l’advancement de vostre maison : priant sur ce le Createur, mon Cousin, vous avoir en sa saincte et digne garde. De Pau, ce xije juillet 1582.

Vostre affectionné cousin et amy,


HENRY.



[1582. — vers la fin de juillet.]

Orig. autographe. — Biblioth. impér. de Saint-Pétersbourg, Ms. 887, vol. I, lettre n° 13. Copie transmise par M. Houat.


[À MONSR DE BELLIEVRE.]

Monsr de Bellievre, C’est par le sr de Segur que vous recepvrez ceste mienne. Il vous est assez cogneu. Je vous prie luy departir vostre faveur et assistance en tout ce qu’il vous communiquera de la part de celuy qui ne sera jamais que

Vostre plus affectionné et asseuré amy,


HENRY.


Le sr de Clervant s’asseure de vostre amitié ; mais encores vous recommanderay de tout mon cœur un affaire qu’il a au conseil du Roy mon seigneur.