aller manger les mains. Bonjour, 1non souverain bien. Aimes Petiot.
gm decembre. i
Faites tenir, s’il vous plaist, la lettre -à Tach. Je luy mande de
use treuver chez vous ; j’ay affaire a_ luy. _
Il ne se parle point du marescbal 3. _
[1585.]--- 13 1>Éc1sMBnE. i
Orig. autographe. -#- Collection de M. F. Feuillet de Conches. i
i A MONS“ DE ST CENIÉS.
Mons' de St Geniés, Je vous ay bien voulu advertir comme mons' le.
mareschal va à Dax et de là à Bayonne, et mene avec luy environ
i deux mille arquebusiers ; mais il n’a aulcunes pieces grosses ny pe-
tites. 14 ne pense pas qu’il entreprene aulcune chose sur mon pays ;. `
toutesfois vous y pourrés faire prendre garde ; si d’avanture il vou-
loit entre rendre, vous ourrés estre assisté des re imens de Pa-
Y P P S
rabere et Castelnau, qui sont vers la frontiere. Du Mont de Marsan,
ce treiziesme decembre. A Dieu. Je suis "
q Vostre bien afïeetionné maistre et plus
‘ ’ asseuré amy,,
HENBX.
'J’ay-mandé à madame la comtesse de vous dire quelque chose
que je ne vous puis escrire ; je vous prie dela croire..
` [1585.] - 15 DÉGEMBBE.
Orig. autographe. — Collection de M. F. Feuillet de Conehes.
A MONS“ DE ST GENIÉS,,
'. Mou muurnnxur en Mns nomurmm ET mrs. souvnnxms.
Mons' de Sainct Geniés, J’ay advisé,-pour la conservation d’une»
partie de mes biens, de faire d_resser le contract que j’envoye à ma r
“ Matignon. E
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LETTRES MISSIVES
