Page:Henri IV - Lettres Missives - Tome2.djvu/216

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206 - LE'l’TPtES MISSIVES _ pour les vous envoyer, quand il sera besoin, et uespargneray. chose quelconque, qui soit à mon pouvoir, pour vostre conservation et de votre place..... A Dieu, Mons' de Vivans, c’est I Vostre bien [bon maistre et plus asseuré amy, ] HENRY. De Bergerac, ce vnf avril. [1586. — visas LE 8 Aven., ] Cop. — B. B. Fonds Leydet, Mem. mss. sur Geollroy de Vivans, p. 7g., [A ‘MON S" DE VIVANS.] A Mons' de Vivans, Vous aurés entendu de mes nouvelles par la’Fau triere. Vous en saurez davantage par celuy qu’il vous aura dict voir le lendemain ; Faites fort travailler, et ostez-vous de l’0pinion qu’on vous ' veuille attaquer premier que Saincte Baseil. Vous avés entendu l’ordre que nous avons donné, nous y pourvoirons encores mieulr lorsque je vous verray : c’est ' ’ Vostre aflectionné 'maistre et asseuré amy, . HENRY. ' [ 1586. —¥ vnns LA MI-AVRIL.] Cop. — Biblioth. de Tours, ancien manuscrit des Carmes, coté M, n° 50, Lettres historiques, p. 255. - Communiqué par M. le préfet. A MADAME DE LAVAL'. Ma Cousine, je nlavois autant de regret en la perte quiavons laicte d€l`011.IllOI1 cousin vostre mar, ue as un de ses am s, il ine . Y ‘l P Y semble que faurois plus de subject de vous en donner la consolation ' Anne d'Alègre, lille aînée de Chris- guy. Le comte de Laval fut, à l’exemple toph, marquis d’Alègre et de Saint Just, de son père et de son oncle, un des plus et d'Antoinette du Prat—Nantouil1et, avait fermes soutiens du parti protestant, et fut épousé, en 1-583, Guy Paul de Coligny, blessé mortellement à Taillebourg dansle comte de’Lavnl (oula Val), fils’a1né du cé- combat livré par le prince de Condé au lèbre d’Andelot, frère delaniiral de Coli- régiment de Tiercelin, le 7« avril 1586.. Un