DU ROI DE NAVKRRE. l 387. tres certainestat de mon amitié, dont je rendray preuve par les eilects, et aultant que le pourrez desirer,. Monsieur mon Cousin, de. _ Vostre trez affectionne cousin, à vous servir. . HENRY. - ` En juillet 1588. A la Rochelle. . [1588. -4 JUILLET.] — ll‘“°. Orig. — Arch. des Ailaires étrangères. Corresp. politique, Mss ; France, n° xix, fol. 31 recto. A MONS“ DE ST GENIÉS. J'avois donné charge à ma sœur d’0rdonner au gouverneur d’Oleron ‘de s’ini’ormer du nombre des gens de- guerre qui se sont levez sur la frontiere d’Espag11e, etde savoir l’occasion de leur arrivée à Pau.' .l’attends de vous "sa response, vous priant me donner sur ce lladvis que jugerés convenable. ` A Dieu, Mons" de Sainct Geniez ; c’est 1 ` Vostrç trez ailectionné maistre et parfait amy,
l588. - 1" Aoûr. Orig. —Arcb. de M. le baron de Scorbiac, à Montau}ian. Copie transmise par M. Gustave de Clausade, correspondant du ministère de Ylnstruction publique. A MONS“ DESCORBIAC. cousnnrrnn nu nor M01: saxonnes.- mu sa counrlnm mnrnmnwr m : ruou1.ouz1¤: rr cumnnu ms mamer. Mons' d’Escorbiac, J e vous ay faict entendre cy-devant 1non intention sur le dillerend du} bas—dioceze de Montauban, d'aultant que mon intention est que les deniers et iinances qui en proviennent, à la dicte ville de Montauban (tout ainsin qu’en Languedoc, les deniers . lag
