Page:Henri IV - Lettres Missives - Tome3.djvu/356

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DE 'HENB1 IV. 327 . 1591. — 1.3 Jauvmn. Cop. — — B. B. Suppl. fr. Ms. 1009-2. '(D’après l’ancien cabinet de M. de Mendajors.) '_ [A MON COUSIN DUC DE MONTMORENCY.] A Mon Cousin, .1’ay esté bien ayse. de veoir par vostre lettre, que le s' de Buiz m’a portée ; le bon tesmoignage que vous m’avés rendu de, |.a’continuation’de la iidelité et afîection qu’ont à mon service les diocesains de Lavaur et Toulouse, sur la requeste desquels j’ay res- pondu ce que letemps et la necessite de mes aiiaires m'a permis, ainsy que ce porteur vous pourra dire plus particulierement ; auquel me remettant je vous prieray seulement, pour fin, de tenir tousj ours la main à ce que mes dicts subjects se continuent en leur debvoir et en l’obeiss’ance qu’ils me doibvent : et sur ce, je prie Dieu, mon Cousin, qu’il vous ayt en sa saincte et digne garde. ' 'De Chaulny, ce Xlljc jour de janvier 15g 1. p HENRY., i i A i il i ~ POTIEB. 1591. — 17 JANVIER. h il `_ Orig. — B. B. Fonds Béthune ; Ms. 9104, fol. 37. I - Cop. — Suppl. fr. Ms. 1009-3. . Imprimé. — Mémoires de Nevers. t. H, p. 229. . . A MON COUSIN LE DUC DE NIVEBNOIS, _ ma DE sauver, convmmvmm nr Moa numucrnmxr ananas :. mv cmumcmi arr sam. Mon Cousin, J’ay esté tres ayse .dÉentendre par vos lettres de l’un- iiesme de ce mois la reduction de ma ville de Provins ; ce que je recongnois avoir esté iaict plus par vostre dexterite et prudenceque par la force, pour le peu de loisir qu’avés eu d’estre devant? la dicte ville. Je vous prie vous arrester à Laigny et tenir vos trouppes prestes à passer, et le passage accomodé pour passer la riviere au mesme temps que je le vous manderay. Vous dirés à un chacun que c’est pour i