y DE HENB1 1V. i lt'71 1591.- 2l ; A.oû*r .--.1'°. A
Orig.`-- B. R. Fonds Béthune, Ms. 9I0!1, f`0l.*87. y Cop. — B. R. Suppl. fr. Ms. 1009-3.
A MON OOUSIN LE DUC DE NEVERS.
Mon Cousin, Je- vous ay cy-devant renvoyé une requestequi mia D esté presentée par Jehan de Villiers le Preudhomme, ou il est question _d’un’i`aict de guerre, duquel ceulx de la justice de Langres ont pris la 'congnoissance ; et d’aultant qu’auparavant~que mes lettres—patentes expediées pourle dict renvoy soient scellées et _qu’elles vous puissent estre apportées, ils pourroient,. par adventure ; passer plus avant et condamner par coutumace ledict le Preudhomme, quine s’ose presenter à eulx, pour llanimosité qu’aulcun»s ont conceue allem- contre -de luy, je vous ay laict la presente, pourvous prier-de leur escrire i qu’ils ayent à difïerer la poursuicte qui se laict allencontredu dict le Preudhomïne, jusques à ce que par mes dictes#lettres-patentes ils ayent este instruictsïde ma volonté, alin=que =vostre lettre, conforme à celle que je leur ay escript sur le mesme subject ; leur face davantaige, congnoistre que c’est mon intention ; et croyésque vous ferés chose qui me sera trés agreable : priant Nostre Seigneur qu’i1lvons ayt, mon Cousin, en sa saincte etdigne garde. Escriptà Noyon, le xxmf jour d?aoust 15g1.` I i
_ ' ;` nuzm . i . - 1591. — ali- Aoûr :—=11"‘°`; . _ Orig. è- Arch. municipales de Bordeaux. Copie transmise par _M. le'seci étîaire général de la ville. A
A Nos TRÉS CHERS ET BIEN AMDZ LES MAIRE ÉT,, JUB ATS. DE NOSTRE VILLE DE BOUBDEAUX.
Trés chers et bien amez, Nous vous avons cy-devant, laiot entendre i par nos lettres clauses comme, encoiresaquevnous eussionsreceu de .
