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LETTRES MISSIVES

— lespere, j'ay advisédy faire entrer le s' de Vuysmes 1 avec sa-com- paignée, pour l’a[i’ection qu’il a a mon service et pour l'asseurance que j’ay qu’il fera a bon escient la guerre ames ennemys, joinct quiestant . prés d’Escosse il aura tant plus de moyen de tenir sa compaignée forte et bien complettel Cest pourquoy je vous prie aussy tost que vous aurés ris la dicte ville, d` faire entrer le dict s'-de Vu smes P Y Y avecsa dicte com ai née,àl’entretenen1ent de la uelle e ourvoiera : . P g il .1 P Y et n’estant ceste cy pour autre subject ;_]e- prie sD1eu, mon Cousin, qu’il vous ayt en sa saincte et digne garde. Du camp devant Rouen, le x1]° jour de decembre 1591.

HENRY.

1>orn ;n.` 1591. — 12 nécnumuz. — Il"., Orig.—B. Pr. Fonds Béthune, Ms. 9109, Fol. no. ` i Cop. j Suppl. Fr. Ms. 1009-3. ` i A MON COUSIN LE DUC DE NIVEBNOIS. mm ne rmncn, couvnaxsxm nr Mon Lisucrnmmr causait nx cn.m1>. .cm ; mr mm :. Mon Cousin, Suivant ce que je vous ay dernierement escript, _j’ay rendu content mon cousin le prince d’Anhalt, pour le paiement de ce qui est de sa levée ; et espere que dans dixjoursje pourvoieray à ce qui est de besoing pour le payement des collonelz Frentz, Bebours et Tempel, de quoy vous les pourrés asseurer. Cependant, ailin que par laulte d’argent vous ne soyés mal assisté d’eulx, je vous envoye deux rescriptions, pour faire recepvoir deux mil escuz, que vous leur ferés delivrer sur et tant moins de ce qui leur est deub, attendant le surplus, qu’ils toucheront dans peu.de jours, comme vous pourrés — ‘ Cest le même qui est appelé ci—après, qui est dit, à la fin de cette phrase, des dans la lettre du 1 décembre, le s' Dou - avanta es ue ce commandant tirerait du 7 .)' g (I, mes, manière d’écrire qui semble répondre / voisinage de l’Ecosse, S`8CCOl‘(lB avec ces à la prononciation du w anglais ; et on lit, indices pour faire regarder ce nom comme ` en elïet, Dwuysmes dans la lettre du 18. Ce celui d’un personnage anglais. '