l DE HENRI IV. 665 soit à mal, soit a bien. Presses l’en donc, je vous prye, et que bien- tost feu reçoive les fruicts que j’attends de sa bonne affection et de vostre diligence : et sur ce, je prie Dieu, Mons' de Beauvoir, qu’il y vous ayt ensa sainctegarde. _
Je suis en peur du pauvre Saqueville. Asseurés la Royne et ceulx à qui il appartient que j’en auray soing ; et desjà _i'ay envoyé un trom- _ pette pour sçavoir ce qu'il sera devenus Je crains qu’il ne se soit en— . gage trop avant. . ‘ — l592. — ll FÉVRIER. Orig. — B. B. Fonds Béthune, Ms. 9109, fol. 37. _ Cop. —<- Suppl. fr. Ms. 1009-8. ' Imprimé. - Mémoires de Nevers, t. lI—, p. 293. A MON COUSIN LE DUC DE NIVERNOYS'. I i ' — Mon Cousin, _D’autant que deux des chariots qu’a faicts le s' de la Riviere, de Sedan, se sont rompus euce lieu, je vous prie, incon- tinent la presente recette, de m’envoyer de Clere quatre chariots pour pouvoir porter les pieces des deux qui sont rompus jusqtfau dict Clerc 1. Envoyés avec ces dicts chariots vingt ou trente harquebusiers à cheval pour les conduire et convoyer icya l’aube du jour. Du dict ‘ Cettepartie de Yitinéraire d’Henri IV mais ce vieil et ruse capitaine luy faisoit témoigne de sa merveilleuse activité. Soul`- toujours des testes d'infanterie. Il n’exe- frant d’une blessure si récente, il s`était cuta rien d'importance ; et l’ayant suivy mis à la poursuite du duc de Parme, en jusques au Pont-Dormy, il s’en retourna à apprenant que ce prince retournait vers la Neuf-Châtel, et de là loger à Claire ..... .. Somme. Cest en revenant lui-même de Monsieur de Claire, comme vostre amy et cette poursuite quil se rendit à Claire, ou allié, vous lit donner une petite chambre il dut arriver le il ; ou le 1 5. L°état de sa dans le chasteau où vous demeurastes (avec blessure l'y lit un peu s'arrêter. Voici ce un valet de chambre, un page et un la- ` quenous apprennent à ce sujet les sacre- quais seulement) auprés du Roy, qui se taires de Sully : « Il se mit aux trousses du faisoit encore panser de sa blessure. » duc de Parme, nonobstant sa blessure".; (OEcon0mies royales, chap. xxxw}.,
