ensa saincte garde. Escript. de nostre campedela ville d’Espernay,
i ce neuliesme jour diaoust 1592. . V '
li . ; . _. HENRY. A A
., . _,, Q, .;, _ __‘ roaexar. Q
` V 1592.-- 12 Aoûr. i V A
Cop. — Arch. de la cour royale de Rouen.-- Reg. secrets originaux du parlement de Normandie
n séant à Caen. Vol. du 6 juillet au 31 décembre n5g2, fol. A5 verso. Communication de M. Flo-
quet, grellier en chef`, correspondant de l’Institut. p
A NOS AMEZ ET FEAULX CONSEILLERS LES GENS TENANS LA COURT
DE PARLEMENT DE NORMANDIE. `
’ .
Nos amez et feaulx, Nous avons au lieu- de Quillebœul`, à present
nommé Hem icarvillc‘, une aliote fort ro re à incommoder et faire
g . P P
la guerre à nos ennemys ; mais d’autant qu`à fuite de forçatz elle
demeure inutile, vous nous ferés service agreable de destiner à la
dicte 'galiote et faire conduire au dict Henricarville, les malf’aicteurs
qui par vos jugemens seront trouvez coulpables de la peine des
galleres, jusques à ce que la dicte galliote soit remplie du nombre
desdictz `forçatz qu’il est necessaire. Donne au camp d’Espernay, le
i Xl`]°jQll1‘ d’aoust 1592. t
_ HENRY.
V rorrsn.
1592. - 13 Aoûr. I
Cop. — B. B. Fonds Béthune, Ms. 9695, fol. sa recto. i
. [A NOZ TRES CHERS ET GRANDS AMYS, ALLIEZ_ ET CONFEDEREZ
MESSIEURS DES LIGUES GRISES.] `
Trés chers et grands amys, alliez et conlederez, Combien que nous
ayons laict une depesche generale etassez ample pour les trois Ligues
Grises, tant pour leur remonstrer que les grandes allaires que nous -
avons eues à supporter sont la seule cause du retardement qui a esté
' Ce nom 11`est pas plus resté à laville çoise 11`était resté au Havre, en l'honneur
de Quillebœuf`, que le nom de Ville-Fran- de François I". I
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LETTRES MISSIVES
