à DE HENRI IV. i 731 bourg ont appellé le comte Charles pour les secourir. he s' de Vic me confirme aussy ce que vous m’escriviés de l’ass_e1nblée de Paris. — et du fruiotqua produit la proposition qui leur a esté faicte. Je vous prieÈ\m_on"Cbusin, me donner advis, de jour à aultre, du progrès, que fera l’armée de mes dicts ennemys ; et croyés que vous aurés bien tost des nouvelles de mon retour. Nestant la presente a aultre eflect, je prie Dieu qu’il vous avt, mon Cousin, ensa saincte garde. Escript à Tours, le xX11]° jour de febvrier 1 59,3. , HENRY. ° ' B, - p rorma. l 1593. É- 2.6 FÉVRIER. — I". _ i I Orig. — B. Il. Fonds Béthune, Ms. 9109, fol. 89. - v Cop. — Suppl. fr : Ms. 100943. — A MON COUSIN LE DUC DE NIVEBNOIS ET DE BETHELOIS. ` PAIR DE FRANCE, COUVERNEUR ET MON LIEUCTENANT GENERAL ENICUAMPACNE ET BRIE. Mon Cousin, Desirant de divertir les forces du duc de 'Lorraine de` continuer à entreprendre dans ma province de-Champaigne, comme il n’en manque de volunté, et l’occuper le plus _qu’il nie sera pos— sible à la dellense de son païs,, j’ay donné cbargelà mon cousinrle due de Bouillon d’aller faire la guerre en la Lorraine, et pour leerendre i plus fort je lui ay Yaict depescher de nouveau trente commissions de _ gens de pied qu’il pourra faire lever en mes provinces de Cbampaigne l et Picardie : de quoy je vous aybien voulu advertir,.aHin que, saichant que telle est ma volunté, vous ne donniés aulcun empesehemeut dans vostre gouvernement à—ceux'qui auronteharge. de l’aire la levée des_dictes compaignies, mesmes assister mon dictcousinclu plus de ' forces, tant de cheval que de pied, que les allaires de vostre dict gou- vernement le pourront permettre, s’il en a besoing et qu° il xous .en requiere pour la dicte guerre de Lorraine : ce que mlasseurant que l ferés, cognoissant que c'est le bien demon service, je prieray—Die?u 92.
