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LETTRES MISSIVES

I que je vous ay promise : priant Dieu, mon Frere, qu’il vous ayt en sa saincte garde. Escript à Paris, le VlJ° jour d’avril 1595. _ ‘ — Vostre bon frere, i I HENRY. U l595.— 7 AVRIL.-IIlm°. p` _ i Cop. -= Collection de feu M. Auguis. Imprimé.- Histoire de Poitou, par Tmnaunxasu, t. V, p. 22Q. ' I [A MON COUSIN LE DUC D’ELBEUF.] " ` Mon Cousin, _j’escris à M' de Malicorne et aux habitansde ma ville de Poictiers, que je ne veux pas qu’il soit innove au gouvernement d’icelle, que je ne vous aye veu, et pris avis et resolution avec vous de ce qui sera necessaire pour le bien et service de la dicte ville.'Vous meviendrés trouver à Fontainebleau, ouje me rendray lundy sans faute, et vous y serés le bien venu : priant Dieu, mon Cousin, qu’il vous ayt en sa- saincte garde. Paris, le vif avril 1595. " ‘ HENRY. P .• never., ` A 1595. — 12 Avmr. ‘ ~ ' Otig. — Archives municipales de Langres. Copie transmise par M. Migneret. A NOS CHERS ET BIEN AMEZ LES MAIRE, ESCHEVINS ET HABITANS DE NOSTRE VILLE DE LANGRES. ` Chers et bien amez, Nous avons beaucoup deiregret que le baron d’Aussonville n’a commencé avec ses troupes par la reduction de Mont- saujonl en nostre obeissance, pour la volonté que nous avons de vous ‘ Ce château, alors occupé parla Ligue, plus aujou1 d'hui qu'un village. Il est situe était le siege du comté de Montsaugeon, à six lieues au sud de Langres. appartenantàl'évêque de Lang1 es.Ce D‘€Si5 . A '