DE HENRI ly. 443 qui me fait vous prier de vous y rendre le plus tost qu’il vous sera _ possible : et ce pendant je prieray Dieu, mon Cousin, qu’il vous ayt ‘ en sa saincte garde. Escript au•camp devant la Fere, le VllJc jour de novembre '1595.
O I i POTIEB.
— “ 1595. — 9 Novenenn.
Cop. --Musée britannique, Mss. additionnels, vol. 4114, fol. 95 verso. Envoi de M. Delpit. C A MONS“ DE BIDOSSAN. ' . GBNTILHOMME ORDINAIRE DE MA CHAMBRE, GOUVERNEUR DE MA VILLE DE CALAIS ` er vus coroms.
Mons’ de Bidossan ; Il doit bientost passer à Calais un des gens du s' Antonio Perez, lequel il faict venir de Angleterre, chargé de hardes. Je desire qu’il passe seurement, et vous prie [tenir la] main qu’il ne luy soit donné aulcun empescbement en Yestendue de vostre gouver- nement ; et mesmes s’il veut venir jusques au lieu où je seray, luy _ donner l’adresse et facilité vous sera possible pour la seureté de son voyage ; et vous me ferés service tres agreable : priant Dieu, L lVlons’ de Bidossan, qu’il vous ayt en sa saincte et digne garde. Escript à; 1 .......... le 1x° novembre 1595. . - HENRY. ` e . on Nnurvittn. _ 1595. — IO NOVEMBRE. _ Orig. — Archives de la préfecture de Maine-et-Loire. Copie transmise par M. Grille. Imprimé. — Mémoires de messire Philippe.? de Mornay, éd. in !;°, t. II, p. 62A. A [A M. DU PLESSIS.] Mons' du Plessis, J’ay appris par vos lettres du xx_]° et du XXIII]': du mois passé, que vous debviés vous mettre en campagne pour reprendre le cliasteau de Tigny, dont j’aurois à plaisir de sçavoir le succés. ll i i i 56.
