serviteur fidele, auquel je supplie Vostre Saincteté adjouster pareille
foy qu’à -
Son tres devot et afïectionné fils, .
— HENRY.
[1595.] — 14 Novnmnnn. *
Orig. autographe. — B. B. Fonds Béthune, Ms. 9075, fol. x.
Cop. — B. B. Suppl. fr. Ms. 1009-2. `
A MON COMPEBE LE CONNESTABLE DE FRANCE.
J C
Mon’Compere, Comme le s' de F osseuse arriva, je vous despeschois
Frontenac, par lequel vous aurés entendu toutes mes volontez. J’ay
mené ce porteur partout, qui. vous dira comme nous travaillons. Je
ne perds pas une heure de temps. Pour Dieu, que l’on mlenvoye des
corcelets. Bonsoir, mon Compere ; aymés-moy bien. Je baise les mains
à ma Commere. Ce quatorziesme novembre. *
1595.- 15 NOVEMBRE. ° Cop. - B. R. Fonds Béthune, Ms. 9041, fol. 42. i Cop. — B. R. Suppl. fr. Ms. 1009-2. I [AU CONNÉTABLE.] Mon Cousin, Le general Cocquerel m’a tres bien servy au faict ` d’Arles, comme ont faict ceulx qu’il m’avoit promis qui siy employe- roient avec luy. Partant, je vous prie donner ordre que ce qui leur a esté accordé pour mefaire ce service leur soit observé, afin de leur donner courage et moyen de perseverer, et que leur contentement serve d' exemple et d’aiguillon à leurs semblables. Mettés-y donques la main, je vous prie, mon Cousin : et parce que je vous escrivis hier par le s’ de Fosseuse, je ne vous feray la presente plus longue que pour prier- Dieuvousavoir en sa saincte garde. Escript au camp de Traversy, prés la Fere, le xv° jour de novembre 1595. . i HENRY. DE msurvints.
