Page:Henri IV - Lettres Missives - Tome4.djvu/593

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( MDE, HENRI IV. Q 575 Offert ; et .@u.i’lgIYGâblC qllQtlC 5l.d€¤ 58HCy ; que j,3y_Pl‘ÉS (18 ` vous ;sÈexplique,,;d_avantage Sl1, I`_'lCS4, P81ÈÈlQUl&1flÈ€Z, de. cest affaire L A quoy_ 1ne ;rem, ettant je finiray en, vous baisant bien humblement les mains et IICUTCUSBS qI ll ;1tl_CDDCDlï; les Cl €fS dB ITl&'llOl1H€ Bl ll€ll A reuse fortune, Je ne la desirerayjamaisemeilleure que d’estre tous- _ _lQU.ïÈ$. E€rQOgHBU, Madame, _pour [ - , i Vostre tres affectionné frere .et serviteur, _ HENRY, ‘ [1596.]-25 Av1u1..—I'°._ ._ Cop. — A Londres, State paper oflicc, antient royal letters. Transcription de M. Lenglet. ` ' [A LA REINE D’ANGLE'I’ERRE.] i q ` Madame, Les services que j’ay receus des s“ d’Av_ers freres, depuis le temps qu’ils sont en mon Royaume et qu’ils continuent es occasions qui se presentent, où ils rendent assés de tesinoignages de leur cou— rage et de leur valeur, ontvoulu que, _m’estant tousjours promis la fa- veur de vos bonnes graces, je vous ay deux fois escript en leur fa- veur et donné charge" au s' de Sancy de vous en parler de ma part, pour vous prier qu’en ma consideration quelqu’une_il y a en moy) et de leur affection au bien de mon service, vous les voulussiés rece _ voir en vos bonnes graces ; et en leur pardonnant la faulte qu’ils pour- roient avoir commise, les remettre en leurs biens ; de quoyje n’ayjamais eu aulcune response ; et les mesmes raisons qui m’ont meu de vous ` en prier continuans, et d’aultre part croissans les obligations que je leur ay, je penserois leur faire tort et à moy aussy, si avec affection et comme chose que _j'ay fort à cœur, je ne continuois en mes mesmes ‘ «Je luy dis donc, rapporte M. de Espagnols le prenoient, nous esperions le Sancy lui même 'dans son récit de cette reprendre sur eux ; et si nous le luy avions négociation, qu'il estoit plus expedient quitté, nous ne sgaurions parquel moyen pour le Roy que l'Espagnol print Calais le luy redemander ; et quand nous le vou- 4 ` par force que si le Roy le luy quittoit pour drions, nous l’olI’enserions, et au lieu les raisons su'sdictes ;et adjoustay que silês d’un ennemy, nous en aurions deux. » n