Page:Henri IV - Lettres Missives - Tome4.djvu/60

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liil LETT—PrES MISSIVES UOD 1 ; IIIEUS COIYlI’Ilû Cû 11,3 8Slû Bl HG SûI`8 j3ID3.lS 110S(1‘û intention, DOUS nous asseurons aussy que vous n’y avés adjousté foy. La verité et nos ûll’OI*l2S VOUS 1‘ûI'l(.lI’ODt’llOUSjoUI’S JJOI1 lLûSl'DOlgDE1g€ (IUC DOUS VOUS EIVODS en autant et plus grande recommandation que nul autre de nos pre- (lûC€SSûU1`S ; BE VOUS pouvés £1SSûUI`û1` (IUC, Sëilûbâïlll l`€tlliûCÈlOl’l qUû VOUS J €lVûS llOUSjOU1`S portée 8.U blûll de cette Couronne, CD lâqllûllû DOUS i DOUS PTOIHGHODS (IUC VOUS COI1llil'1UûI‘ûS È! l,3.ClVû1’1lI‘, HOUS CO11Sûl1T, iI’lOl1S plus tost à toute aultre ch-ose au 'prejudice de nostre service, que de A VOUS &J)&H(ilOl]I`1û1` ûl Il]ûl.l.I‘û È la lT1ûI’Cy de VOS %1I1C.lûI’iS û111`1ûIl’}yS 1"ût SUI` Cûlllû &SSûU.I`3Dûû DOUS PI’lol]S Dlûll qu’il VOUS 3.Vt, TIfûS Cl1û1`S ûll ^ . bien amez, en sa saincte garde. Donne à Chartres, le x° jour d’oc— tobre :593. " V D . HENRY. /\ POTIERT i À / É i [ 1.593.] J- 22 _ocroB1ua. . . . Cop. — B. Suppl. fr. Ms%9-fl. ‘(D’après les registres du` Parlement.) A VJ` [A M. DE GONDY.] `> Mons" de Gondy, Tadjousteray encore sa mot de ma main aux aultres lettres que le s" de la Clielle vous rendra de ma part, pour I vous prier de le croire comme moy-mesme de ce qu’il vous 'dira de ma part, et de mes nouvelles, comme des occasions qui l’ont retardé prés de moy depuis sa depesche faicte. Je luy ay commandé d’es— S3.yûI‘ Clû 1`8COUVI`ûI‘ lI’OlS OU qU3l.I‘û P3.lI`ûS de Cl’lûV21UX, POU? Cû qllû j’en ay grand. besoing. Je vous prie de vous employer à ine procurer Cû_ COI1ÈûDl ;ûï1”1ûI1ll ; COITIIDG 8USSy Èl celuy (IUO j,ûSPûI‘¢û tlI‘ûI‘ PEU` VOSllI`û U 1110)*611 Clû son VOy3gû, SUI` le sujet à plain COIIÈQIIU ûiil SOI) lI1StI’UCElOD, et en ce qu’il vous dira de ma part de plus particulier de mon inten- A U01'); SUI lûqllûlmû 1`ûl'I'lûUL8UT, jû 1'lû VOUS ûI1 (llïêly Cl3.V3I1t3gû, sinon POU1‘ VOUS 3SSûUI`ûI` qUû jû Ilû Pûïdfüy la H1ûI1'lOlI‘û de VOS SûI’VlCûS, ûl ; qllill ' Les rois de France ifexereaient encore sur la ville de Metz qu’un droit de protectorat. (Voyez plus haut, t. III, p. [