DE HENRI IV., . 835 ` ou trois jours ài leurs 'remparts. J e'prie Dieu, Mess"; qu'il vous ayt en sa saincte garde. `Escript au camp- devant Amiens, le 'xxv°;jour‘d'aoust . 1579- ‘ ‘ ` HENRY. . . Ã_ i rormn`. l597. —— 2`5 A0ûT. —ll“"’., i Cop. —ÃiB. N. Suppl. Fr. Ms. 10:69-]. I Imprimé. — OEcon0mie.s royales, édit. orig. t. I, p. /tSg. [A M. DE ROSNY.] . r Mons' de'Rosny, Voyés la lettre que j’escris à ceulx de mon con- seil, et tenés la main q11°elle soit suivye. Venésme trouver aussy, sui- vant ce que je vous ay mande, et amenés un bon cheval avec vos armes, allin de m’ayder à recevoir la benediction du cardinal, s’il nous vient voir. comme il nous en menace ;_et aprés retournés par delà, car je sçay que vostre personne m’y est necessaire. lay commandé au s' de Villeroyl de respondre plus particulierement à la lettre que vous luy aves cy-devant escripte. Je prie Dieu, Mons’ de Rosny, qu'il vous A ayt en sa saincte et digne garde. Escript au camp devant Amiens, le xxv° aoust 1597. ' HENRY. on NEUFVILLE. ' l597.—26 A0ûT.` i Orig.— B. N. Fonds Béthune, Ms. 9061, fol. Sl ;. Cop. — Fonds Fontanieu, Ms. P. 73,.fol. 17 I'CCt0;.•— et'Suppl. fr. Ms. 1009-2. [AU CONNÉTABLE.]_ - Mon Cousin, Ilest temps que vous reveniés, car c’est pour certain que le cardinal arriva dimancheà Doué, et que son armée est assem- ‘ Cette lettre de Villeroy se trouve dans«les`*Econ0mies royales, à la suite decelle-ci. ` ' 105.
