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LETTRES MISSIVES

1599.- 21, im. ' Orig. — Arch. de M. de la Force. I, Imprimé. -- Mémoires de La Force, publiés par M. le marquis DE LA GRANGE, t.' I, p. 2 13. ‘ . A MONS“ DE LAIFORCE. _ Mons' de la. Force, Sur ce que _i’ay esté adverty que l’heritiere de Labatut a esté ravie d’entre les mainsde sa mere et menée dans la maison de m' de Sauveterre, ou quelque aultre de vostre gouverne- ment de Bigorre, je vous recommande tres expressément de vous transporter ou la dicte heritiere de Labatut aura esté emmenée, et vous en saisir, et arrester le cours des querelles et assemblées qui se sont faiotes pour ce sujetl ; Qu’elle soit bien et seurement gardée, pour aprés estre mise entre les mains de ses plus proches, ainsy que la justice en ordonnera ; à quoy vous tiendrés la main de tout vostre pouvoir ; d’autant qu’en cela il y va de mon service et que c’est chose que j'aH’ectionne : et celle-cy niestant à_ aultre fin, je prieray Dieu, Mons' de la Force, u’il vous a en sa saincte arde. Escri 1; à Or- (I È P leans, le XXIIIJe Jour de Jtlllî 1.599. ‘ HENRY. A ma Lomzmm. — 1599. — 1°' JUILLE'I`.— Cop. — Biblioth. de M. Monmerqué, Ms. intitulé Lettres à Fainbassadcur du Levant. [A M. DE BREVES.] _ _ Mons' de Breves, Vous m’avés faict service tres agreable d’avoir fait revocquer le commandement que ce Seigneur avoit 'I’aict'contre les ' On voit dans les mémoires de ce tem s- et uel tumulte ces actes—là causaient dans P (1 là, notamment dans les Hisloriettcs de Tal- une. rovince, ar les luttes ui s’en a- P P (1 8 (amant des Réauœ, combien étaient fre- geaient entre les parents de la lille et ceux quents ces enlèvements d'héritières, pour, du ravisseur. s'assurer leurs biens par un mariage forcé, `