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LETTRES MISSIVES


les despenses qu’il conviendra faire à cause de la venue de m" de Sa- voye, comme aussy je l’escris au s' de Rosny. .l’ay veu Bertier et la depesche qu’il a apportée d’ou il vient, que j’ay trouvée tres bien. Je loue Dieu de ce qu’en cella comme en toutes autres choses il benit mon desseing. Je vous prie de’l1aster et advancer cest aflaire le plus u’il vous sera ossible, aflin ue `e uisse estre marié en brel", ui fl P (l J P, Cl est ce que je desire le plus en ce monde, et la chose que j’ay autant à cœur. Bonjour, Mons'- le cbancelier. Ce xxv° novembre, à Juilly. Y, J ‘ HENRY. il J 1599. —— "G- DÉCEMBRE. ` , _Orig. — B. N. Fonds Béthune, Ms. 9069, fol. 36. ‘ i [ AU CONNETABLE. ] J Mon Cousin, Je viens d’avoir advis que le duc de `Savoye arrivera, our le certain, dimanche rocbain à Fontainebleau, tellement c u’il — P P l me faut preparer pour m’y— en aller. Clest pourquoy je vous prie de vous en venir icy le plustost que vous pourrés, et d’y arriver, s’il. est possible, demain, de bonne heure, allin que- je vous puisse voir, et resouldre avec vous plusieurs aflaires qui nous pressent : priant, Dieu, mon Cousin, qu’il vous ayt en sa saincte garde.'Escript à Paris, le ` vf jour de decembre -1599. _~ n i ` I HENRY. A nn Nnurvutia. ‘ Les 'préliminaires du mariage avec était même établie à cé sujet entre M. de Marie de Médicis se négociaient déjà de- Villeroy et le çavalier Vinta, principal mi- puis plusieursmois. Une correspondance nistre du grand duc de Toscane.