‘ . DE HE'NllIilV. A - . 281 Savoye, et pour cest ell’ect _je despeclie celuy qui s’en va à Toulouse A i pour poursuivre la dicte voriücation, attendu mesmement que la fin A du partement me presse, et que je veulx. que cella soit laict avant] Ceste cy n’estant_ à autre fin, `je prieray 'Dieu_qu’il` vousayt. Mons' le i ‘ Chancellier. en sa garde. Ce XVllJc aoust, aux faux-bourgs de- Cham- l)e1=yÈ ° ' i ii I . .` ° — - . HENRY. 1 _, [1600.].-+.19 AoûT.'. - • - i Orig. autograplic. .—— Archives des Médicis, ltig8tiloHil`1`3l]QEllS(i3 liasse 3. Copie transmise, _ par M. _le’ministre de France à Florence. _ i I AQMON QOUSlN' LE GRAND DUC DE roscaiviz. i I ~ Mon- Cousin ; _J’envoie vers vous mon grandescuyer`, pour trois oc-_ _ casions : la premiere pour vous remercier de ce que vous miavés donné pourcompagne vostre niepce, que je clierisi comme elle merite ; la A deuxiesme_pour. vous prier d’en faire les espouzailles en mon nom, i et pour ce faire, vous porter lues lettresde procuration necessaires, que je vous prie accepter et avoir agreablesyet la derniere pour vous i prier instamment de ma part, dé la mienvoyer au plus tost, car je ne seray content que je nela voye auprés de moy, ny que jenemè sois revancluéide Yobligation que.je vous ay du plaisir que vous m’avés liaict en ceste occasion, ` comme 'en mes necessitez passées, ainsy que vous dira mon dict grand escuyer, auquel je vousiprie adjouxter pa- ' reille foy qu’à moy-mesmes. de prie Dieu, mon Cousin,'_qu’il vous 1 ayt en sa saincte et digne garde. 'Ce XlXm° aoust, aux fauxbourgs de . Chambery. . U ' I HENRY. ` L'ET'l’I\B5 nz xrusnx iv.-- v. 36
