Page:Henri IV - Lettres Missives - Tome5.djvu/332

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' DE_11EN1)t1 1V. 307 . - . '_ G _ . [1600. —— 22~ s1z1g*rEMBn1z.—I'“. .. A ` Orig. autographe. — Archives des afiaires étrangères. Correspondance politique, Ms. Florence, . - vol. 11. Copie transmise par M. Mignot. n i [A MADAME LA PRINCESSE `DE TOSCA-NE]- Ã . ` « .l’ay receu deux lettres de vous, l’une par St-Leger, l’autrei par le jeune S‘-Luc. Le mesme jour je vous avois escript toutes nouvelles. Je ars lund our retourner àinon armee, ue le fais 'renforcer au- P Y P . (I J _ tant que je vois qulil est necessaire. Le duo sans Savoyel a vu le comte de Fovntés et est de retour a Turin avec un visa e ui tesmoi ne du . . [, È mescontentemen];. Il ne donne nul-ordre à ses affaires ; ce que voyant, je luy sers de tuteur. Je liniray, vous ass-eurant que je- desire extre- mement vostre prompte arrivée, et vous haisantcent mille fois les mains. Ce xxif septembre, à Grenoble. ~ - j 1600. —— 2 2 SEPTEMBRE. --1I‘“°._ Orig. — Arch. dutlépartement du Cher, chartrier du bureau des linances. Copie transmise . . par M. le préfet. i [ I - Imprimé. — Éloge ile la ville ile Bourges, parle P. Philippe Lannnçdans l’Annuaire du Berry, i" année, 1v° partie, p. 35; Bourges, 18lio,, in-8°. _ _ [AUX MAIRE ET ESCHEVINS DE BOURGES.] i - Tres chers et bien amez, Nous avons veuila res onse et les.foib1es . I P oltres que vous faictes a nos lettres, et admonestement que vous a , 1`aict nostre tres cher et tres amé cousin le s' de la Chastre, de nous ' secourir en une occasion si juste et si' celebre que celle de nostre mariage, desquelles nous recevons plus de mescontentement que nous _ n'en sommes satistaicts, Car si l’estat de nos afiaires et le malqui nous presse se pouvoient guarir par de làellesparoles et 'la recognoissance, ue vous faictes du fruict cue vous en devés es erer, u’en cela ist . (1 4 1 - vostre repos et la conservatlon- de tous vos moyens et facultcz domes- ‘ Ce trait est uf1e des nombreuses sail- etre la verve spirituelle et facile de HenriIV lies que le lecteur remarquera dans ces n’est plus brillante que dans cette partie lettres àMarie de Médicis. Nulle art eut- de sa corres ondance. ` P P P Sg.