Page:Henri IV - Lettres Missives - Tome5.djvu/389

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36/; LETTBES—MISSlVES 2 [l`600.]--6 DÉCEMBBE. —IIlmc. ~ . _ Orig. autographe._— Bibliothèque impér. de Saint-Pétersbourg, Ms. 886, lettre n° 76. Copie A

  • IPHDSITIISB PGP Houat.

A MONSR DE BELLIEVRE, i-cmuvcnmm on ramer :. Mons' le chancellier, Je vous envoie la declaration que _j'ay. faict ex- pedter stu` ledict du mo1s de ]anv1er mil c1nq cens quatre vingt-six, touchant le droict de douze denierspotu libvre sur iles marchandises de toiles, avec le don que _j’ay faict du dit droict à mon cousin le comte de Soissons, poursix ans. C’est pourquoy je vous fais ce mot de nia main, à ce que toutes raisonsau contraire et diflicultez cessantes, vous ne manquiés à le sceller, d’autant que je veux tesmoigner à '11'101'} dict cousin le desir quejlay de luy donner moyen desupporter la grande despense qu'il luy convient faire prés de moy et à mon armée, par 111011 commandement et Pour mon service. Stu* ce, Dieu vous ayt, Mons' le chancelier, en sa saincte garde. Ce v1‘“° decembre .‘ au camp devant le fort S‘°-Catherine. i `

HENRY.

[ 1600.];- 7 DÉcEMBnE. — l'°. ` Orig. — Archives du Mont Cassin, Ms. contenant la correspondance de Pierre Aldobrandini, n° S. Copie transmise par M. Noël Dcsvergers. i A MDN COUSIN LE CARDINAL ALDOBBANDIN. A — Mon Cousin, Je vous envoye le s' de Barrante pour vous visiter de ma part. et vous rendre compte de ce que _j’ay faict en ce voyage, lequel aiesté plus long que je ne pensois. Toutesfois je ne plains pas ma peine ny mon retardement, puisque je n’ay'perdu le temps, ayant trouvé ceulx qui gardent ce fort aussy traictables que les aultres, ainsy que vous le dira le dict s' de Barrante, vous confirmant l’as— i seurance que je vous ay donnée de mon amitié et la confiance que