Ãilll LETTRES MJSSIVES saincte et digne garde. Escript à Fontainebleau, le xxv° jour de may 1601. " p HENRY. ` ne 1vr :erv11.1.s. _ [l60l.]—26 MA1.—l"î. Imprimé. — (Economics royales, édit. orig. t. Il, chap. 8. [À M. DE BOSNY.] l A Mon amy, Ily a quelques jours que jevous escrivis de me donner advis d’un placet que mon nepveu le prince de Joinville me presenta, pour, si l’on faisoit aucun estat des deniers contenus en iceluy, luy donner quelque somme. Mais lors- je ne me souvenois que, le dernier voyage que je lis à Paris, lamarquise de Verneuil m’ayant demandé la mesme chose, je la luy avois accordée ; sy que mon nepveu ne s’est nullement prevalu du dict advis, qui a faict que sur d’ault—res qu'il m’a presentez je luy ay accordé dix mil GSCUZ 1, comme vous verres par le brevet que je luy en ay faict expedier, ou ils sont specibez. Ciest pour- quoy je vous prie de les voir, allin que si vous jugés qu’ils soyent 'ustes et iaisables, vous teniés la main à ce ue mon dict ne veu J fl uisse `ouir de la liberalité e 'e lu a accordée ; et vous me ferés P J J Y Y service tres a reable ; d’autant ue `e l’aime et desire faire uel ue g Cl J (l (l chose pour luy. Sur ce, Dieu vous ayt, mon amy, en sa saincte garde. Ce xxv_]° may, à Fontainebleauî HENRY. ' ‘ Ces placets, dont il est ici question, J portance de l’impôt. L'auteur du projet étaient des projets de nouveaux impôts. recevait aussi un droit d’avi.s. Molière en Ceux qui les imaginaient les faisaient pré- parle dans les Fâcheuœ, ou il a mis en scène senter au Bei par quelque personnage de cet usage ; la coul} (Jul ($116 PTOJBI ; cxéculiallle) VOUS vouliez, Monsieur, IDC Pîêtûï (JEUX pistolcs, I Que VOUS I’C[)\`Cl'ldI'lCZ SUP lc droit de l’HViS ble, suivant le degré de sa faveur et l'im
