. DE HENRI IV. Sl Chinon. Je l’a_y bien particulierement instruit de ce qu’il a a faire et comme —il se doit gouvernerï Vous ne_montreré_s ceste lettre ny ne parlerésà personne de cest ailaire, auquel vous vous conduirés avec toute la prudence et discretion qui y est requise, ailin que le bon homme de m' de Chavigny ne s’en ollense, et ne luy empesche d’acl1e- ver en repos le peu de jours qui luyrestent encore à vivre. Sur ce, Dieu vous ayt, mon Cousin, en sa garde. Ce xxvi_]° septembre,1598, à Monceaux. . u " _I—IENPtY. 1598. — 27 SEPTEMBBE.—lIm°. ’ Minute. B. N. Fonds Du Puy, Ms. 407, fol. 27 verso.- ’ ' Cop.-Suppl. lir. Ms. 1009.-4*. (D’après l'0riginal quietait dans les Mss ; le'I’ellie1 -Louvois.} I i [A M,. DE BOSNY.] `f Mons' de Rosny, J’envoye deux memoiresà m" le Chancelier, aux- qu_els je desire que vous et ceulx_de mon conseil pourvoyés au plus tost, comme tres importans au bien de mon service, ainsy que vous le pourrés cognoistre. Je vous laisse et àluy de juger auquel il sera ` besoing de travailler lepremier. Jloubliay hyer à vous commander de f n, I 9 Ã I « ’ aire pourv01r à ce qu 1l fault pour lacconlplissement du traicte que j’ay' cy-devant Yaict avec mon frere, le duc'de Lorraine ; à quoy je vous prie de tenir la _main : et ceste-cy n’estant à aultre fin, je prie Dieu, Mons'. de Rosny, qu’il vous ayt en sa garde. Escriptà ..... le xxv1_]° jour de septembre 1598. _ i, HENRY. - ‘ M. de Souvré, était ouverneur rétention ui aurait fait man uer, cette ‘l 8 P ‘l *1 de Touraine, aurait pu élever quelque :1il’a_ire,ç0ndui|:e comme un coup de main. ‘ L’abbé de l`Écluse a recueilli dans ce bliés. Ce que nous avons dit ci dessus, ms. quelques lettres quiil transcrivit sur p. 27, du ms. 1009-1, ne s'applique donc _ des originaux que Sully n’avait point pu- pas au ins. 1009-li. i l
