! cent mille qui doivent estre employés a ce à quoy nous les avons des- tinez : et parce que iespere vous voir bien tost, je ne vous Ieray la presente plus longue, pour prier Dieu, mon Cousin, qu’il vous ayt en sa garde. Escript à Calais, le i_]° septembre 1601. ‘ . HENRY. ` nn zvaurvxttn. l60l. —— 2 snrrmtnne. — III""; ' Cop.- B. N. Fonds Béthune, Ms. 0070, f’ol. g3'. . ' [AU MARÉCI-IAL D’OP1NAN0.] B Mon Cousin, Vous aves bien faict d’avoir faict arrester en ma ville de Bourdeaux les balles à canon dont vous m’avés donné advis par vostre lettre du XV1l1° du mois passé, et n’en donnerés la main levée sans mon commandement. Je me suis tousjours promis de l’ail’ectio11 et prudence du pere Mage, ceque vous m’avés mande par la mesme lettre qu’il a tesmoigné sur le subject du livre des Jesuites, lesquels,. a mon advis, ont esté contraincts à ce faire autant par indiscretion que par malice. Touteslois, ils ne sont excusables de l’une ny de l’aultre procedure ; mais je veux croire que le dict pere Mage les fera sages, et qu’il moderera l’ardeur du zelle qui les transporte 1. A quoy je me promets aussy que le cardinal de Sourdis s’employera comme i’l doibt laire, tant pour obeir aux commandemens que je luy en ay faicts, que aux promesses tres expresses qu’i1m’en a faictes ; car il m’a donné parole d’avoir en toutes choses tres bonne intelligence avec la surintendance des ûnanees, sous le titre sa mort, arrivée, dans sa quatrewingt- de contrôleur général. Il parla au nom du troisième année, le 31 octobre 1622. Il Roi dans Ynssembléedes notables de 161 7. voulut être enter1 é à Autun, dans le tom- Ecartéquelque temps parlesintriguesdela beau qu’il s`était fait préparer à côté de maréchale d’Ancre, il ne tarda pas E1 être son père, dont Yépitaplie rappelait la pro- rappelé, et conserva son influence jusqu`à fession. i ’ Le P. Lorenzo-Maggie, jésuite, avait et en Languedoc. On verra ci—après qu’il obtenu du Boi la permission de visiter fut ensuitemandé à lacour. _ les couvents deson ordre en Guicnne I
