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LETTRES MISSIVES

Pluviers et mardy à Fontainebleau, ou peut-estre jane seray gueres sans aller où vous dira ceporteur. Ce pendant asseurs-vous de mon amitié, ` de laquelle je vous tesmoigneray les ellects aux occasions qui s’en offriront. A Dieu, mon compere. Ce dimanche, IXe juin, à Orleans. ' i HENRY. q [1602.]--1o JUIN. — I'°. - Imprimé. — Mémoires de messire Philippes de Mama], in l1°, t. III, p. 28. A M. DU PLESSIS.] iq . Mons' du Plessis, Teusse esté tres ayse de vous voir, et vous eusse tesmoigné- que je n’ay perdu la souvenance de vos services, qui crois de vostre fidelité et afîection ce ue `e m’en suis tousours romis. (I J J t P Je pars presentement pour aller coucher à Pluv1ers, et dema1n à Fontainebleau, oa fespere trouver m’ le duc de Biron arrivé.`Cepen— dant si sur les bruicts qui courrent, vous apprenés quelque chose qui importe à mon service, je vous iprie ne manquer de m’en` advertir. Aussy tost que je me seray esclaircy de beaucoup de choses sur iceux, je vous feray entendre mes volontez et intentions, aflin que j’y sois servy de vous avec la mesme fidelité et allection que je l’ay tousjours esté. A Dieu, Mons" du Plessis, ce xè juin, à Orleans. - ‘ HENRY. 1602. — IO sum. —II‘“°. i Cop. — Biblioth. de M. Monmerqué, Msaintitulé Lettres à Fambassadeur du Levant. _ [A M. DE BREVES.] i i Mons? de Breves, Vous scaurés par ceste lettre lareception des vostres du XXVI° mars et du XIIB avril. Depuis vous avoir escript les _ miennes du XVIe demay, _j’ay depuis faict mon voyage de Poictiers, ou j’ay receu tous les `contentemens que je pouvois desirer, tellement