Page:Henri IV - Lettres Missives - Tome6.djvu/159

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

—DE HENRI IV. 107 mon Cousin, lequel je prie vous avoir en sa saincteet digne garde. Ce dernier de juillet, à Paris. ` HENRY. 1603.-2 Aoûr. U Orig. — Collection de Dusevel, d'Amiens, membre du comité des chartes. i À A MONS" DE BERENGLEVILLE, couvarmaun ni : MA vittn D’ARDRES. Mons* de Berengleville, Ayant licentié la compaignie du cappitaine Mons, qui estoit en garnison à Corbie, _j’ay advisé d’y envoyer en sa place celle du capitaine Troyon, qui est à Ardres, laquelle, à ceste occasion, vous laisserés aller, affin qu’elle se puisse rendre au plus tost en la dicte ville de Corbie, pour m’y servir selon mon intention ; à la elle m’asseurant auss ue vous satisferés our vostre re ard, 'e qu Y (l 8 .l ne lieray ce mot plus long que pour Vous dire que dans peu de _]ours je pourvoiray à vous envoyer une aultre compagnie, siil en est besoing. Ce pendant, je prie Dieu, Mons' de Berengleville, qu’il vous ayt en sa saincte garde. De Paris, le if jour d’aoust 1603. _ HENRY. ' ma Naurvixiis. [1603.]-6 Aoûr. . Orig. autographe. — B. N. Fonds Béthune. Ms. 9088, fol. 6. Copie. — Suppl. Franc. Ms. 1009-2. A MON COMPEBE LE CONNESTABLE DE FRANCE. Mon Compere, Puisque les aliaires que ma cousine de Candalle ‘, vostre niece et ma cousine, avoit avec mon cousin le duc d’Espernon ' Francoise de Foix, dite Madame de rency. Sa sœur aînée, Marguerite de Foix, Candalle, seconde fille de Henri de Foix, avait épousé le duc d’Epernon, qui ne comte de Candalle et d’Astarac, captal cessadbpprimermadamedeCandallepour de Buch, et de Marie de Montmorency, réunir ses biens à ceux de sa sœur. Il la lille du connétable Anne, était ainsi la contraignit, malgré ses protestations, à nièce du connétable Henri de Montmo- prendre le voile à.Saintes en .1590, et à lg.