\ DE HENRI IV. . 231 [160lL. — visas LA 1su—Ava1L.] —`III"‘°. _` I Imprimé. - œconomies royales, édit. orig. t. II, chap. (15. I - [A M. DE BOSNY.] Mon amy, Je vous ay escript ce matin une lettre par la Varenne, aflin que vous vissiés madame de Verneuil de ma part pour luy dire mes intentions, d’autant que quand je le Fais _moy-mesme, nous ne faisons ue nous icoter sans rien conclure. Mais Si on nes venant (I P S g tout maintenant d’arriver de sa part vers moy, je le renvoye vers vous et vers elle, pour vous dire les mesmes choses dont j’avois chargé la Varenne, d’autant ue se confiant du tout en lu elle croit ue vous (I Y (I n’advancés rien du vostre, comme elle me l’a quelquefois voulu per- suader. Vous les escouterés donc tous deux et prendrés le temps à propos pour me rendre les services que vous avés tesmoigné de tant desirer : qui est de terminer les continuelles brouilleries que j’ay à cause d’elle et de. ses irresolutions, vous sçavés bien avec quil, car je vous y ay souvent employé. .I’all’ectionne ceste allaire, et vous prie d’y mettre une fin. A Dieu, mon amy. De Fontainebleau, ce mardy à six heures du soir. _ HENRY. — ' IGOIL. — 1'6 AVRIL. Imprimé. — œconomics royales, édit. orig. t. II, chap. 35. [A M. DE HOSNY.]l A Mon amy, Puisque madame de Verneuil est resolue à c que vous me mandés, je le suis aussy à ce que je vous ay dict lundy. Je luy ' Il est facile de s'apercevoir qu’il sagit ici de la Reine. A E ‘ La lettre de Sullyau Boi en contenait que nous allons citer d’après les OEcon0— une de la marquise de Verneuil à Sully, mics royales, pour expliquer toute cette né-
