v iq DE HENRI IV. 207 ' i, [1607.] — 30 AVRIL. — lI“‘°. - l Cop. Archives de M. le marquis de la Grange. ‘ - [A ................ ] _ Mon Cousin, Si plus tost j’eusse receu la lettre que vous m’avés escripte le xxi11° du present, qui ne me fut rendue que le XXVll1°, _ [eusse esté bien aise de gratilier un de vos enfans de Fabbaye de Combelongue qui a vacqué, car je desire vous tesmoignerla souve- nance que j’ay de vos services, mais il y avoit trois jours que je l'avois accordée au s' de Values. Cest pourquoy fattendray aultre occasion en laquelle je vous puisse faire paroistre les eliects de ma bonne volonté, et je prie Dieu, mon Cousin, qu’il vous ayt en sa garde. Le dernier avril. HENRY. . [1607. —— rm D’i&VHIL.ï[ V — Cop. — Archives de M. le marquis de la Grange. [A M. DE LA GUICHE, » . I `GOUVBRNEUB DE LYON. ] — Mons' de la Guische, J’ay receu la lettre que vous m’avés escripte le lle du 'present, et veu par celles du comte de l\/Iartinengue, que m’avés adressées, ce qu’il desireroit de vous touchant la levée de quelques soldats et recouvrement de chevaux et armes en vostre gou- vernement pour le service de la republique de Venise. Mais, comme — [apprends que les dilierends que ces Seigneurs avoient avec Sa Sainc- [ teté prennent le chemin d’estre bientost terminez par la voye de doulceur, et la resolution en estant grandement advancée, [espere qu’ils n'auront poinct besoin de ceste levée, laquelle vous avés bien faict de remettre jusques à ce que je vous eusse sur icelle Faict sçavoir 4 mes intentions. J’ay aussy entendu ce que contenoitile memoire de l’advis du Milanois, et auray à plaisir quevous continuiés à me faire
