. -_ _i :.`;.`- 'Y `, " • '. i i T ~ " _~ —. ‘ os HENMIV. sus c’est par des momes] ou gens qui en prennent les habits, que Bas- . sompierre mande toutes les nouvelles._ Enquestes—vous si hyer il fut de telles gens à Cheranton ‘. Je me porte fort bien, Dieu mercy. En- ` voyés moy cette lettre de Bome que ne me voulustes hailler hyer au ' soir. Je vous donne lebonjour et un million de baisers, vous jurant que je vous ayme de tout mon cœur. - ‘ ° [1607.] —= 26 Aoûr. f — , Imprimé. — (Economies royales, édit. orig. t. 1II,'cb. 13. i ' ` [AU DUC DE SULLY.] ‘ Mon amy, Pour response à vostre lettre, je vous diray que mainte- nant je me porte, Dieu mercy, mieux que je ne faisois ce matin ; qui ` me fait esperer que demain firay disner à Paris, ou je vous verray. Que si ce soir il me survenoit quelque chose qui me fist changer de resolution, je vous_ en advertiray. A Dieu, mon amy. Ce dimanche xxvf aoust, à quatre heures aprés rnidy. HENRY. 1607. — 27 Aoûr. -1***. Orig. — Biblioth. de la ville de Metz. Envoi de M. Clercx, bibliothécaire. _ [AU CARDINAL DE GIVRY.], _ '_ Mon Cousin, Ayant esté supplie par mon cousin le prince _ d’Orange ’ dïassister de ma recommandation son president, qu’il en- .' La lettre précédents et celle de Marie expliquent ce passage et fournissent la de Médicis, que nous citons en note. date de cette lettre cî. ‘ Ce billet était de la main du Roi. ' Sur ce prince, voyez ci dessus la lettre adressée à la marquise de Verneuil, qui est placée vers le 8 août. LETTRES DE HENRI IV îYII A AA.
