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LETTRES MISSIVES
DE HENRI IV. u

Iiter aux bonnes lettres pour se rendre capable, de quelque dignité ` en l’Eglise, se desbauche, jevous fais ceste—cy pour vous dire que, incontinent que vous l'aurés receue, vous luy commandiés de ma part de s’en retourner trouver sa mere, à laquelle j'ay commandé de envo er enmnco e e a esc e, Ol1I’ niure ra- l’ y o lle dlFl h cotne ta cliever ses estudes, allin qu’il puisse esperer de moy quelque dignité en l’Eglise, comme est ma volonté s'il s’en rend capable ; ce que vous luy ferés entendre : et sur ce, je prie Dieu, Mons' de Breves, vous tenir en prospérité. Escript à Paris, le x11_]" jour de may 1610.

HENRY.

Mons" de Breves, faites ce que je vous mande, car je le veux 2. . ma Lomzivm. mante lettre qu’il lui écrivit en 1590, du put même réveiller les premiers souvenirs camp devant Paris, une autre que nous de son enfance, passée au milieu des mon- donnerons dans le Supplément, celle qu'il U tagnes du pays natal. adressait, de la cour d'Henri III, en :576, 2 Ce post scriptum et la signature qui à son camarade d’enfance, le baron de le précède sont les derniers traits de la Myossans, ore de ce jeune abbé, ne main de Henri IV que nous oflre cette peuvent être rapprochées sans un intérêt correspondance. Le lendemain, 1A mai, véritable de cette dernière : Ecrite la veille entre trois et quatre heures de l'après- de sa mort, elle reporta peut-être sa pen- midi, Yattentat de Bavaillac termina la see vers d'anciennes et nobles amours, et vie de ce grand homme.

FIN DU SEPTIÉME VOLUME.