916 I TABLE DE PLUSIEURS LETTRES ADRESSES SUJETS DES LETTRES DATES. LIEUX DE LA DATE. DES LETTRES. BT SOURCES. que Je so_n consentement. Il trouve étrange que les Etats osent lui demander de l’ar- ' gent sans’vouloir s'engage1 ainsi. Le Roi nc doit pas'êtro mis par eux sur la’n :nême ligne que le roi d’Angleterre, puisqu’il les traite beaucoup mieux. Rcmorcier les Etats des honneurs funéraires qu’ils ont fait rendre ta M. de Buzanval. ll ne faut point (engager immédiatement à payer une . pension au prince Maurice, avant d’avoir . vu le cours que prendront les allixircs. La flotte espagnole ne paraît menacer ni les Pays-Bas, ni les Vénitiens ; elle semble à plutôt destinée u une expédition contre le Maroc. ` i Orig. —B. I. Fond : Béthune, H :. 9006, fol. . 75.—Cop, Fonds Saint. Germai¤ français, — Impr. Illérnoirzs pour servir à Pilicloire ' de France, publiés par MM. Michaud et ]6(]`], Pnujoulat, 2* série, t. IV, p. 176, etc. Vers la mi-octobre. . ........ . . ........, . A. ........... . . . .... . . . Envoi de la jussion pour l’enrogistrement de l’édit portant création en titre d'oHicc des ~ lieutenants diocésains du prévôt général . ' de Languedoc. Cop. —Arch. de M. le marquis de la Grange. 15 octobre. Paris. Au grand conseil ......... Ordre de faire jouir les maîtres selliers, lor- miers, collrctiers et malletiers de la cour et suite du Roi, de tous les privilèges qui . leur ont été précédemment accordés. Em- pêcher les maitres jurés selliers, lormîors D de Paris de les tracasser, etprincipalemont , de les astreindrc S1 fermer leurs boutiques lorsque le Roi nc se trouverait pas ii Paris. . Cops-- Arch. de I'Empire, registres du grand , conseil, V, 3225, fol. lûl. Octobre. ..... ... . . .......... A M. de Bnrneveltlt. Crénnce à M. de Bussy, conseiller ct maitre d’hôtel du Roi, que S. M. nomme pour ' i résider dans les Provinces-Unies, Et la place . de M. de Buzanval. A A Cop.- Arch. dc M. lc marquis de la Grange. 3 novembre. Fontainebleau. A MM. Jcannin et de Bussy. Mécontentement du Roi au sujet dc la con- ' duite peu franche des Anglais. Ils vou — ° draient Ycmbarquer dans une guerre dont ’, il aurait a supporter seul tout le poids. Aussi S. M. revient de son premier senti- ment, et pense que la paix lui sera plus profitable que la guerre. Les Anglais ont _ fait entendre au prince Maurice qu'ils . ' seraient disposés à une ligue défensive dans laquelle entreraieut la France et les _ Pays - Bas ; mais ce n'est probablement de leur part qu'un artifice. Bien que la À paix soit plus avantageuse En la France ‘ que la guerre, il faut laisser in d’autres le soin de faire des ouvertures pacifiques, afin de ne pointparaître aller au-devant de ' la paix. Uambassadeur des arcliiducs a . dit au duc de Sully que ses maitres ont reçu les ratifications nécessaires du roi 1
