Page:Henri IV - Lettres Missives - Tome7.djvu/940

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t NON IMPBIMÉES DANS CE VOLUME. ' 923 ADRESSES SUJETS DES LETTRES DATES. LIEUX DE LA DATE. ', DES LETTRES- BT SOURCES. 1607. .......... . . . . . ...... [Au connétahle, ou it un Avis de l'or :lre donné à M. de Contcnan, de, autre personnage, titre de conduire I1 Brethucl la partie de la com- eousin, capitaine de la pagnie de clxevau-légers du Dauphin compagnie de chevau-lé- qui est depuis longtemps en garnison a gers du Dauplrin.] Conches. 1608. S Cop.—Areh. de M. ic marquis da la Grange. 7 janvier. Paris. A M. de la Guesle, procureur Ordre de requérir du Parlement la vérilica- _ général au par-lement dc tion des lettres patentes du Roi, portant Paris. permission Zi tous les maîtres ouvriers dc a galerie du Louvre de pouvoir travailler pour les particuliers et former des appren- . ‘ tis, soit ia Paris, soit dans toute autre ville du royaume. . Orig. — Arch, de t'Empire, sect. histor. serie K, 105, 3. 25 janvier. Ibidem. Aux trésoriers généraux de Envoi des lettres contenant l’état de la recette France au bureau deCaen. et de la dépense des deniers du taillon ` pour l'année 1608, état auquel doit se ' conformer Jean Thomas, receveur général du taillon. Cop. ÀArcl :. de l'hôtel de villa de Caen.

  • 27 février. Ibidem. A MM. Jeannin et de Bussy. Satisfaction du Roi sur la conclusion du

traité entre lui et les Provinces Unies. ll Y envoie ses lettres de ratification. On de- I vait désirer quo les Anglais fussent entrés _ dans ce traité ; mais puisqu'ils ne l’ont pas voulu, ou a bien fait de passer outre. S'ils viennent ii se repentir de n’y être point entrés, MM. Jeannin et de Bussy sont chargés de faciliter lcur ad- mission. Le sieur Aërscns a demandé au Roi d’augmenter le secours d’argent si accorder aux Etats pendant les deux _ premières années dc la paix ; mais S. M. n'a pas voulu y consentir, parce qu'ellc craint que les Espagnols, débarrussés de leur guerre avec les Pays Bas, ne tournent leurs armes contre la France. Cette crainte est d’autaut plus fondée que le roi d'Espagne commence En faire des armements en Sicile, sous prétexte d'atta quer les Turcs. Le Iloi ne sc propose pas non plus d’augmenter le secours des quatre mille hommes qu'il a accordé aux Etats, et même il désire que ces troupes ` soient payées par les mains de ses elli- I ciers ct non par Ll'aul.res, ainsi que'cela se pratique. ll est important que les Etats ne consentent pas ix l‘écliange de certaines places dela Flandre et du Brabant qui est proposé par les Espagnols, En cause du besoin que les Provinces Unics ont do ces ' places pour maintenir leur indépendance ; il vaudrait mieux, s'il est besoin, qu'elles se relâchassent sur certains points relatifs à la navigation dans la mer des ludcs. Rc- commandation faite de favoriser les al`- ` faires du prince d'Espinoy. Orig.—B. I. Fonds Béthune. Ms'. 9007, fol. H5. — Cop. Fonds Saiat Gerniain français, Ms. 783, 3, fol. vers0.—lmpr. Mé- moires pour servir à l'IIistoirc ds France, par MM. Michaud M Poujqulat, 2° serie,, ' t. IV, p. 283, etc. ' L 16 .