Page:Henri IV - Lettres Missives - Tome7.djvu/944

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• ' '\ N NON IMPBIMÉLS DANS CE VOLUME. 927 — ADRESSES SUJETS DES LETTRES .— DATES. LIEUX DE LA DATE. DES LETTRES. ET soutiens. IGOB. 25 avril. Fontainebleau :. A la ville d'Abl :cville. Notification dela naissance du duc d'Anjou ' [Gaston de France). Orig. — Archrmunicipales d‘Abhevill¤. Idem. Ibidem. A la Chambre des comptes. Idem. Cop. — B. !.Snînt Gcrmain Harhy. Ms. 521, l`° 92. Idem. Ibidem. A M. de la Force. Idem. Orig. - Arch. du dut : de la Force. — Imprimé. Mlm. de la Force, t. I", p. U3. Idem. Ibidem. A M. de Verdun, président Idem. ati Pnflêmcnt (16 Toulouse. orig, — Arch, municipales de l..CCt0¤l’¢ Idem. .....,... . ......... ., A M. Pcckine, ambassadeur Mem. ' des Aïchlducs de Flandrm Cop. - Arch. de M. le marquis de ls Grange. . . I Pl i n is r s - 9 mai Pam. Au Inn-lomcntde normandie. P'"' q"',° ' à,° li? L"' l°°, l°“ ° lÉ" ' tentes pour Petablxssement dun college des Jésuites à Caen. Cop. — Arch. de ls cour iulpérislc de Rouen. Reg. `sscr. orig. du parlement de Nor- ' msndia. ` 23 mai, Fontainebleau. A MM. Jeannin et de llussy. L6 |'6î¤\‘d 11116 lo liûî- ¤ mis 1'éP0¤dT° P?0 vient de ce qu'1l attendait le retour de ' M. Jennnin, auquel il aurait donné de vive voix certaines instructions ; toutefois, il approuve lcs motifs qui l'ont retenu dans les Pays Bas. Les Etats étonbcutrés en né- gociation avecllcs Espagnols a son insu, il pourrait se dispenser de leur donner ses , conseils, mais il ne veut pas aussi mal agir envers eux qu’îls l'ont lait envers lui. ‘ Puisqu'ils se sont ôte les moyens de con- tinuer la guerre, le parti le plus sûr est de conclure une paix délinitive ou, pour ' lc moins, une trêve a long terme, surtout puisqu'ils ne peuvent pas compter sur linppui de l'Aogletcrre, et. que la France — aurait. ti supporter toute seule les dépenses qtfcntraiucrsicnt les nouveaux secours ont ils auraient besoin, Toutefois, ils doivent tenir A ne pas traiter sans que leur liberté ct leur indépendance soient reconnues, et sans qu'on leur laisse les places fortes dont ils disposent. Il faut ?u'ils se résignent, s'il est nécessaire, à aire quelques concessions relativement au commerce des Indes. Il n’y a plus guerc ‘ d'autrc ressource pour eux que la paix ; mais il vaut mieux les laisser agir eux- . mêmes que de les presser de traiter. En accordant le secours de trois cent mille livres demandé par le sieur Aërscns, S. M. n’ex1tcnd pas continuer dc pareils secours [ si les aiïaircs traînent toujours en lon- gueur. Les archiducs Font naitre en Hon- _ grie des troubles inquiétants pour la tranquillité de l‘Empcreur. Le roi d’Es pague est d'intelligcnce avec eux, et tous