Page:Henri Poincaré - Leçons sur la théorie de l'élasticité, 1892.djvu/125

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PETITS MOUVEMENTS d'uN CORPS ÉLASTIQUE 115 faut trouver trois fondions ;, -q , s satisfaisant aux équations : ^ (JX ' ' (X+u.)^4-V.AC=~Z et à la condition que la pression soit nulle à la surface, (Nous avons vu, en etîet, qu'on peut ramener le problème général à ce cas particulier.) Nous développerons X, Y, Z en séries de la forme : X= Y^^,. Y=VA,r., Pour que l'équilibre soit possible, il faut que, si l'on assu- jettit le corps à être un solide invariable, les forces se fassent équilibre, ce qui donne les conditions : \ Xch=o I Xch =z fzdx=o J[i/l—zY)ch = o f{zK—xZ)ch=o f{xY—yX)ih = o Il en résulte que les 6 premiers coefficients A sont nuls ; en effet, les 6 premiers minima sont nuls ; les déformations cor- respondantes sont de simples déplacements ; nous pouvons supposer, par exemple, que les trois premières sont des