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54 LEÇONS SUR LA THÉORIE DE l'ÉLASTICITÉ Dans le cas où les forces extérieures sont nulles dans l'état d'équilibre naturel, on a: Y=o et par suite : v=o C'est le cas particulier qu'ont considéré Lamé et Clebsch ; nons n'avons pas cru devoir nous y restreindre. Dans le cas des forces centrales, nous avons trouvé les relations des deux types Coeff. de p^ = coeff. de 2aoa3 Goeff. de 2p,p2 = coefF. de ^ocg^g Les relations du second type sont satisfaites d'elles-mêmes, car les deux coefficients sont nuls ; celles du premier de- viennent : ijt. X 2 ^^ ^ ou: Dans le cas des corps isotropes, il y a donc, en général, trois coefficients arbitraires, qui se réduisent à deux ou à un seul dans les cas où les 27 coefficients du cas général se rédui- raientà21ouà15('). (1) Pour plus de détails sur les questions traitées dans ce chapitre,je renverrai à ma Théorie mathématique de la Lumière, pages 1 à 32.