Page:Henry - Les Littératures de l’Inde.djvu/219

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son oncle Akrûra, dans Mathurâ sa ville natale, y redresse par miracle une Eemme difforme, el com- bat contre Kamsa monté sur un formidable élé pliant: il prendla bète par la queue <-\ la secoue, puis par la trompe et la terrasse; mort de Kamsa. Puis \ iennent : l'émigration des Yadus dans la ville (très occidentale) il'" Dvârakâ; la belle Rukminî, enlevée, puis reconquise (p. 119); la naissance de sod lil>. Pradyumna ou l'Amour; les huit épouses de Krsna; l'Asura Bâna, protégé de Çiva ; la Ya- iiiun.'i (Jumna actuelle) détournée de son cours ; et

une foule d'autres aventures belliqueuses et ur-

trières, en partie vaguemenl historiques, an bout desquelles le héros ramène a -a mère Dêvaki ses six frères aînés qui avaient succombé jadis aux em l'uclics de Kainsa. Dans ce tohu bohu sanguinaire s'intercale la touchante parabole des « grains de riz écrasés », qui symbolise la récompense infinie ac cordée en échange de la plus humble offrande faite d'un cœur fervent au Maître de toute riehesse.

Livre XI. - A la suite de l'histoire de Pi ngalâ, la courtisane repentie, le corps du li\ re est occupé par un dialogue du Bienheureux avec le sage i ddhava, entrecoupé de divers hymnes. A la fin, destruction de la rare des Yadus el disparition du Bienheureux (p. 141).

Livre XII. Description des maux de l'âge Kali, l'âge de fer, où dous vivons aujourd'hui (car la mythologie hindoue a ses quatre âges, comme la

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