Page:Hobbes - Œuvres philosophiques et politiques (trad. Sorbière), 1787.djvu/309

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chaque homme particulier et celles des nations. V. Division des lois humaines, c’est-à-dire, civiles, en sacrées et séculières. VI. Autre division des lois civiles en distri­butives et vindicatives. VII. Que la distributive et la vindicative ne sont pas deux espèces de lois différentes ; mais deux diverses parties. VIII. Qu’à toute loi il faut sous-entendre une peine apposée. IX. Que les commandements du Décalogue, tou­chant l’honneur dû aux parents, le meurtre, l’adultère, le larcin et le faux témoignage, sont des lois civiles. X. Qu’il est impossible de rien ordonner par la loi civile de contraire à la loi de nature. XI. Qu’il est essentiel à la loi qu’elle et le législateur soient connus. XII. Comment on connaît le législateur. XIII. Que pour connaître la loi, la promulgation et l’inter­prétation sont nécessaires. XIV. Division de la loi civile, en écrite et non écrite. XV. Que les lois naturelles ne sont pas des lois écrites ; et que, ni les réponses des juriscon­sultes, ni la coutume, ne sont pas d’elles-mêmes des lois, mais par le consentement du souverain. XVI. Qu’est-ce que signifie le mot de péché, en sa plus large signification. XVII. Définition du péché. XVIII. Différence entre le péché d’infirmité et de malice. XIX. Sous quel genre de péché est réduit l’athéisme. XX. Qu’est-ce que crime de lèse-majesté. XXI. Que par crime de lèse-majesté, on enfreint les lois de nature et non pas les lois civiles. XXII. C’est pourquoi il est punis­sable par le droit de la guerre et non pas par le droit de la souveraineté. XXIII.