Aller au contenu

Page:Hoffmann - Œuvres complètes, tome III.djvu/247

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

que Balthasar ne vécût pas dans l’union la plus heureuse et la plus parfaite félicité qu’un poète ait jamais peut-être goûtée avec une jeune et jolie femme. –

C’est ainsi que le conte du petit Zacharie surnommé Cinabre a maintenant tout-à-fait une joyeuse.


FIN.