Cette page n’a pas encore été corrigée
lement au jeune homme que fort rarement ; le vieillard le surveillait avec beaucoup de soin, et il lui adressait aussitôt une sévère injonction, chaque fois qu’il le voyait entamer avec son nouvel ami une conversation familière et affectueuse. Cela faisait sur Traugott une impression d’autant plus pénible, qu’il aimait extrêmement le jeune homme à cause de sa frappante ressemblance avec Felicitas. — Oui, souvent même il lui semblait à le voir, que l’image chérie lui apparaissait en réalité, il croyait respirer la douce haleine de la bien-aimée, et il aurait alors voulu presser contre son cœur le jeune Berklinger, comme si c’eût été sa sœur.