Page:Horace - Odes, traduction Mondot, 1579.djvu/19

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?. MONDOT VELAVNOIS A SON
fierel. Mondot fur la traduction dcQ^
Horac. Fiac.
SO NET.
tMon petit ^4poUon^monfuppo Y t,mon cher frère,
D^aife te fuis rauy voyant en l’i/^iners
Exalter ton renom ,voler par tous les vers.
Que vierù ta muje enfante a U mémoire.
Fourfny le me fuie volpincetant ton y noire.
Tes temples pour auoir de mille f kurs couuers,
1^/1 jant du Ciel vouttéles chemins defcouuers,
Ou viuretu pourras dans l’eternellegloire.
De laFrance tu rendues peuples esbahis ,
Ta maifon, tes amis, le V ollay ton pays
^Aufucre amieledes doux traicîs detonliure,
Vont chacun enyuréfefcrie aueccjues moy,
Fine Mondot qui n’a au puyfèmblablc àfby,
M augre la fiere mort dms le marbre ou lecuinn,
SONET.
ta feule rarité tjl celle ce me jcmbU
Qui donne plus de luflre a tobiecl denoXjcux,
Ce qui eft [tant fit peu)enfoy beau,preticux,
Le fafant moins comun de p! us pr ad pris refimble.
Mais quand en vn [hbiecl le rare&beaupajjemble;
On le doit « bon droit encor ejlimer mieux,
il tjl ainfi de toy, Mondât, mignon des Dieux,
Par tes eferits ou efl & tvn ($r l’autre tnfembiu