Page:Houdar de La Motte - Œuvres complètes, 1754, tome 9.djvu/133

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Je vous voyois recevoir à merveille
Les soins empressés de l’abeille ;
Et puis après l’abeille arrive le frelon ;
Vous voulez plaire à tous jusques-au moucheron.
Vous ne refusez nul hommage ;
Ils sont tous bien venus, et chacun à son tour.
C’est providence de l’amour
Que coquette trouve un volage.