Page:Huc - Le christianisme en Chine, en Tartarie et au Thibet, tome 2.djvu/109

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de faire un peu la cour aux protégés du commissaire impérial et du vice-roi. Les néophytes, qui depuis leur conversion au christianisme n’avaient cessé de vivre au milieu des troubles et des sollicitudes, se voyaient enfin rassurés. Le P. Ricci ne douta plus que le moment ne fût venu où il lui serait enfin permis de recueillir en paix le fruit de sept années de labeurs et de tribulations.