Page:Hugo - Œuvres complètes, Impr. nat., Correspondance, tome I.djvu/129

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ces misérables caquetages sur nous[1]. Ne t’en afflige pas, tu n’as rien à te reprocher et tu agis avec l’approbation de tes parents. Adieu, bien-aimée Adèle, écris-moi bien long et permets-moi de t’embrasser. Adieu, adieu.

Ton mari,
V.-M. H.
  1. « ... Tu ne saurais croire, Victor, combien nous occupons de pauvres esprits. Ce sont des propos, des mots inimaginables. Tout cela ne s’adresse pas à nous, c’est chez ma tante que tout le monde va savoir ce qui se passe. Ce sont des ennuis qui n’en finissent pas et que Mme Asseline a la charité de me rapporter. J’en ai été tellement assommée que j’en suis toute triste. » (Reçue le samedi 2 février.)