Page:Hugo - Œuvres complètes, Impr. nat., Correspondance, tome IV.djvu/217

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pris. Si votre frère croyait encore qu’il y a quelque parole urgente à dire ou quelque démarche urgente à faire, je suis, vous le savez, tout à lui comme tout à vous. Usez de moi.

Je vous serre les mains.

V. H.[1]


À Monsieur Hyacinthe Vinson[2].


22 9bre.

J’emménage en ce moment, Monsieur, et la semaine prochaine si vous voulez bien venir me voir vers huit heures, je serai tout à votre disposition. Je serai charmé d’avoir l’honneur de vous voir, je serai plus charmé encore s’il m’est donné de ne pas être inutile à un homme de votre valeur et de votre mérite.

Recevez, monsieur, l’assurance de mes sentiments très distingués.

Victor Hugo[3].


Au même[4].


19 Xbre.

Je veux depuis longtemps, monsieur, vous remercier de vos beaux et charmants vers par un serrement de main.

Je vous l’envoie.

Victor Hugo.

Je ne suis rien et ne veux être rien. Le devoir fait, je rentre dans l’obscurité[5].


1849


À Monsieur Mocquard[6],
chef du cabinet particulier du Président de la République.


26 janvier.
Monsieur,

Un écrivain, un publiciste très distingué, et dont je fais un cas particulier, M. Jules Mauviel, a adressé à M. le président de la République une

  1. Bibliothèque Nationale.
  2. Inédite.
  3. Communiquée par M. Paul Vinson.
  4. Inédite.
  5. Communiquée par M. Paul Vinson.
  6. Inédite.