Et quelles charmantes grandes dames mêlées à cela ! et que de mots éblouissants ! — Vous risquez votre peau. — C’est mon seul luxe.
Charles est ravi, Victor est charmé, je suis charmé et ravi. Tout le goum du rocher vous applaudit.
Merci de votre lettre exquise, de l’extrait de Michelet, des paroles de Gautier, du dialogue Veuillot. Janin aura son dessin et vous le vôtre.
Quelle admirable bonté de m’avoir copié l’article de Nefftzer !
Je suis charmé de votre embrassade avec Hetzel.
Je lis le deuxième article de Janin, il est excellent. Est-ce que quelqu’un parlera du livre après lui ? quel est ce plus heureux auquel il fait allusion ?
Si vous voyez M. Baudelaire, j’ai reçu son charmant petit livre sur Gautier. Remerciez-le pour moi.
Mettez-moi aux pieds de madame Paul Meurice[1].
Merci, cher Auguste. Merci pour Brown et pour moi. Vous savez toujours faire le bien excellemment. — Il y a une grosse faute qui vous a sans doute frappé, un a de trop qui défigure malheureusement toute la première phrase et la rend inintelligible. Si vous le jugez utile, priez notre cher Nefftzer de publier une note comme ceci :
— Une faute d’impression a défiguré les premières lignes de la page écrite par Victor Hugo sur John Brown, que nous avons publiée dans la Presse du 8. Ces lignes doivent être lues ainsi :
«Quand on pense aux États-Unis d’Amérique, une figure majestueuse se lève dans l’esprit, Washington. »
Votre lettre arrive, on la lit haut, elle nous charme tous. Je vous recommence mon remerciement. Vous savez comme nous sont précieux tous les détails. Les journaux anglais et les journaux belges répètent à la fois la chose