Page:Hugo - Œuvres complètes, Impr. nat., Poésie, tome XIV.djvu/368

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Quand le soleil d’avril rit à travers les feuilles,
Quand, d’un regard charmant, joyeuse, tu, m’accueilles,
Je sens un feu divin dans mon coeur s’allumer ;
Sans l’amour, sans la foi, notre âme serait, noire.
Dieu ne l’a pas voulu. La nature fait croire,
La femme fait aimer.

Il avril 1843.

LVII Oh ! pour le reste de ta vie,