Page:Hugo - Œuvres complètes, Impr. nat., Roman, tome IX.djvu/438

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Une autre note donne des détails sur la jeune fille dont il est question plus haut :

Orpheline. — Élevée par cette riche religieuse femme du monde avec une charité gracieuse et nullement pesante.

Il eût été difficile de dire quelle était la fonction de Misgrace dans la maison. Elle n’était, certes, pas femme de chambre, encore moins femme de charge, aucunement servante. Les servantes la servaient. Pas parente pourtant. C’était une orpheline que la chanoinesse gardait dans la maison pour être dévote. Elle disait des chapelets avec elle. On l’avait élevée dans ce but. On l’appelait la petite.



93. — noms.

Le duc de Réthel (Mazarin).

L’abbé Gimahias.

L’abbé Cimourdain.

Le marquis de Mauvaise.

Sa sœur.

Son neveu, le vicomte Gauvain-Poingdestre.

Marins, pêcheurs, etc.

Denithorne.

Hacquoil.

Hamlondon.

Mèsbertrand.

Paysans. Paysannes.

Jacquine Jeanne.

Thomasse Louve.

Le marquis de Torchamps.

Le comte Lebailly.

Le baron de Hautcilly.

Le chevalier de Prefontant.

Le vicomte d’Éparville.


Un vieux matelot pirate appelé de ce sobriquet expressif et vague : Six mille sacs. On ne lui connaissait pas d’autre nom. D’où lui venait ce nom ? On ne savait. Quel en était le sens ? On l’ignorait.