Page:Hugo - Œuvres complètes, Impr. nat., Théâtre, tome VI.djvu/271

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ACTE PREMIER, SCÈNE IV. 249 CYPRIENNE, courant à sa mère. Ma mère, sauvez-moi ! ROUSSELINE. Mademoiselle. . . ÉTIENNETTE. Ma fille, monsieur te demande en mariage. CYPRIENNE. Jamais. GLAPIEU, à part. Bien, mon loulou ! Il fait le geste d’applaudir. ÉTIENNETTE. Réfléchis, ma fille. CYPRIENNE. Ma mère, j’ai horreur de cet homme. ROUSSELINE, à Étiennette. Je me retire, madame. A part. Oh ! ce que je veux se fera. Je mettrai cette famille dans un étau. Il salue Etiennette et Cyprienne, va à la porte du fond, et l’ouvre. On aperçoit par l’ouverture la tête de l’huissier. L’HUISSIER, se penchant à l’oreille de Rousseline. Quels sont vos ordres.’* ROUSSELINE, à l’oreille de l’huissier. Saisissez. Vendez. Il sort par la porte du fond. L’huissier reste dans l’cntrcbaîUement de la porte. ÉTIENNETTE, à part. Il sort ulcéré. Que va-t-il faire .»* Oh ! je ferme les yeux pour ne pas voir ce qui va crouler sur nous.