Page:Hugo - Œuvres complètes, Impr. nat., Théâtre, tome VI.djvu/313

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ACTE II, SCÈNE III. 29I M. DE PONTRESME, quittant M. Barutin. Pardon. Quelqu’un m’appelle.’* D’autres masques surviennent. On entend des rires. M. BARUTIN , jetant un coup d’œil sur C vpricnne dans les bras du masque. C’est une. . . — créature. M. DE PONTRESME. C’est une femme. M. BARUTIN. Allons donc ! M. DE PONTRESME. Je vole à sa défense. Le sexe, mon cher ! M. BARUTIN. Y penses-tu. dans ta position ! toi magistrat ! M. DE PONTRESME. Puisque je suis déguisé en chevalier. D’ailleurs c’est mon vrai costume. C’est demain, avec une robe, que je serai déguisé. — Monsieur, lâchez madame. . . LES MASQUES, apostrophant M. de Pontresme. Qu’est-ce que c’est que ce tapageur-li.’* M. BARUTIN, à M. de Pontresme. Ils sont plusieurs. Tu vas te faire rosser. Tu es un contre quatre. Je t*en prie. Ne te compromets pas. M. DE PONTRESME. A quoi me sert mon faux nez si je ne peux pas faire une action d’éclat ? Monsieur, respectez madame. M. BARUTIN. Lâchez suffisait.